Avec 6 champions du monde en piste, l'année 2012 détient le record en la matière. Le plateau F1 2013 perdant un champion avec la retraite de Schumacher, ce record ne semble pas prêt d'être battu. Mais aussi intéressante soit-elle, cette stat connue depuis déjà un moment ne mérite pas vraiment un article à elle seule.  Le Bing News souhaite donc aller plus loin en s'intéressant à une autre stat, celle concernant la présence de futur champion et au nombre cumulé de champions sacré et de futur champion.

Tout d'abord, et même si cela peut paraître évident, il convient de préciser ce qu'est un futur champion. On considère futur champion, tout pilote non titré et qui le sera dans le futur. Par exemple en 1994, 3 futurs champions sont en pistes. Schumacher qui sera sacré a la fin de l'année, Hill et Hakkinen. En 1995 seuls deux futurs champions sont en piste : Hill et Hakkinen. Schumacher passant dans la catégorie des champions sacrés.

D'autres part il convient de préciser a partir de quand un pilote champion sacré ou futur champion est considéré comme participant a une saison. Si une stat sur les participations actives aurait eu un intérêt accrus, il ressort qu'une participation active est difficilement définissable. Quels critères retenir ? Le nombre de gp ? On exclurait alors Mansell de la saison 94, malgré 1 victoire. Les résultats ?  Ce qui exclurait les premières saisons de nombreux pilotes.  Une association des deux ? On s'enfonce diablement dans le subjectif.  Au final il convient donc de faire simple. Un pilote est considérant comme participant dès lors qu'il a pris un départ dans la saison. Néanmoins, les cas particuliers seront précisés si nécessaires.

Enfin il est évident qu'on ne peut pas tirer de stats de la dernière saison. C'est pourquoi nous nous attarderons surtouts sur les saisons 2005 et antérieurs.  Sans oublier que le nombre de futurs champions présent sur quelques années qui ont précédés 2005 peut encore légèrement évolué.

Le nombre de champions sacrés en piste varie de 0 à 6. Si 2012 est la seule année ou 6 champions s'affrontent en piste il y'a deux années ou aucun champions sacrés n'ont concourus.  1950 (en toute logique) et 1959. En moyenne 2.71 champions s'affrontent chaque année en pistes.  

Concernant les futurs champions, la moyenne sur les années (1950 – 2005) est sensiblement identique : 2.75. Le nombre maximal de futur champion à ce jour étant de 5 en 1975 (Lauda, Scheckter, Hunt, Andretti et Jones), 1978 (Andretti, Scheckter, Jones, Piquet et  Rosberg) et 1980 (Jones, Piquet, Rosberg, Prost, Mansell). La palme revenant à 1975 ou Alan Jones, pilote ayant le plus petit nombre de participation, a couru 8 gp sur les 14. Tandis qu'en 78, piquet n'a couru que 5 des 15 gp et en 80, Mansell, n'as lui participé qu'a 2 gp

Plus récemment 4 futurs champions furent en piste en 2007 avec Raikkonen, Hamilton, Button et Vettel.

Si a plusieurs reprises un seul futurs champions a pris par a une saison de formule 1. Une seule année s'est déroulé sans la participation de futur champion : 1999. Si  la domination de Schumacher pourrait être une explication, il reste intéressant de constater que ses principaux rivaux durant cette période (Montoya, Raikkonen) ont démarré après 99. Les années qui suivirent furent d'ailleurs propices à l'apparition de futur champion. Button (2000) ; Alonso et Raikkonen (2001).

Passons enfin au nombre total de champions (futur ou déjà sacré)  présent en piste. Un nombre qui varie entre 3 et 8. Cependant la présence de seulement 3 champions ne fut observée que durant les premières années des championnats.

le nombre important de 8 champions en piste (chose qui ne s'est plus vu depuis 1980) est quant à lui, souvent le fait de participation ponctuelle.

1 seul gp pour Clark ou Andretti en 1968. 1 seul gp aussi pour Scheckter et Surtees en 1972. Mansell quant a lui n'as courus que 2 gp en 80 (mais ça on l'avait déjà dit). Et seulement 5 gp pour Fittipaldi et Andretti en 1970 ou Piquet en 1978. Finalement la palme revient donc a l'année 79 ou les pilotes les moins présent (Hunt et Rosberg) ont participés a 7 gp sur 15 soit presque une demi-saison.

Quelles conclusions tirer de tous ces chiffres ? A priori aucune, ce ne sont que des stats. Cependant on peut noter que lorsqu'on regarde un plateau de f1 on s'imagine souvent voir beaucoup de futur champion mais il est en réalité très rare de voir plus de 2 ou 3 futurs champions en piste la même année. La présence de 6 champions est-elle le signe d'un faible nombre de futur champion. Difficile à dire. On peut observer par le passé que 4 champions sacrés ont déjà côtoyé selon les années 0, 2 ou 4 futurs champions. Cependant le fait que ces 6 (ou 5 l'an prochain) champion occupent 5 teams différents laisse a priori peu d'espace a de nouveaux venus dans l'immédiat.

Alors combien de futurs champions sur le plateau 2012 ? Avec 3 futurs champions ou plus, cette année s'offrirais un nouveau record. Mais qui ? Perez ? Rosberg ? Massa ? Webber ? Diresta ? Hulkenberg ? Mais non, en bon chauvin que nous somme, il parait évident que ce ne peut qu'être Pic, Grosjean et Vergne…

Récapitulatif

Après avoir assuré à plusieurs reprises que Jarno trulli ferait bien partie de l'équipe en 2012. Catheram a finalement décider de le remplacer par V. petrov. Ce renvoie pourrait aprraitre tardif, c'est oublié bien vite que Jarno aurait pu apprendre son remplacement entre les libres 1 et les libres 2 du gp d'australie. "Non non t'en fait pas, Vitaly roule le vendredi matin mais ce sera bien toi qui fera le reste du week end" lui aurait-on alors affirmé le Jeudi précédent le gp. Donc non ce renvoi n'est en rien tardif.

Cette saison 2012 permettra donc de voir l'affrontement Petrov – Kovalainen qui sera une bonne valeur étalon pour le russe. Pendnat ce temps l'Italie qui avait encore deux pilotes en 2011 n'en aura plus en 2012. Une première depuis... euh, depuis... Bien longtemps

Après la pseudos présentations Catheram, Nous avons pu assister ces derniers jours a de vraies présentations, plus ou moins sérieuses.

Notons la présentation en deux temps pour Lotus. Une présentation Internet suivi le lendemain à jerez de la présentation d'une voiture assez différente de celle vu la veille. Au concours de laideur, les choses sont serrés, la faute a la nouvelle mode des nez cassés. Néanmoins Ferrari semble dominé les autres sur ce point. Mais ce qu'elle perd en beauté, la Ferrari le gagne en originalité. Ayant refusé l'option nez cassé (Ont-ils eu leur dose dans les années 80 avec A. Prost), Mclaren gagne pour le moment le prix de beauté. Aujourd'hui c'est Redbull, Tororosso et Sauber qui ont dévoilé leur voitures. Demain ce sera le tour de williams et tout ce petit monde s'élanceras sur la piste de Jerez pour leur première confrontation de l'année !

Et oui la grande innovation de l'année 2012 pourrait bien se trouver chez HRT. Innovation qui pourrait permettre à la petite équipe de faire un bond dans la hiérarchie au point que le titre serait le seul objectif. Avant de dévoiler le nom de cette innovation il faut faire un petit saut dans le temps qui nous amène en 1985. C'est en effet cette année la, que cette idée est apparut pour la première fois. Mais si l'idée était la, il apparaissait toujours inimaginable de la concrétiser. Longtemps les plus grands spécialistes ont pensés qu'il fallait laisser cela a sa place, c'est à dire dans un film de science-fiction. Et pourtant en 2012 les ingénieurs d'une modeste écurie de Formule 1 semblent avoir enfin réussi à créer un convecteur temporel fonctionnel.

Car oui c'est bien de cela qu'il s'agit, En 2012 les HRT seraient équipés d'un convecteur temporel. Reste pour le staff à trouver l'application la plus approprié. Une activation en début de course qui enverrait la HRT 1"20 dans le future ne serait pas efficace car celle-ci n'aurait alors pas parcourut le nombre de tour nécessaire. La solution la plus efficace serait une activation en fin de tour renvoyant la delorean, pardon la HRT 20 secondes dans le passé. Diminuant ainsi ces temps au tour de 20 secondes. Outre le risque évident de se retrouver en milieu de peloton, deux problèmes majeurs se posent. Pas sur que tous les circuits offrent une ligne de départ suffisamment longue pour atteindre les 88 miles nécessaires au voyage temporels (environ 142 km/h) avant la lignes de chronométrage. L'autre souci concernera évidemment le réapprovisionnement en plutonium. On sait en effet qu'une dose de plutonium est nécessaire a chaque voyage temporel. Hors on imagine mal la HRT s'arrêter au stand a chaque tour pour faire le plein de plutonium. A moins que les ingénieurs HRT réussissent la ou doc a échoué en créant un réservoir capable de contenir plusieurs doses de plutonium…

De leur coté Mclaren, Ferrari et Redbull auraient déjà déposés une demande de clarification auprès de la FIA afin de savoir si ce système est légal

Non, nous ne  nous lancerons pas aujourd'hui dans un art divinatoire pour prédire le champion 2012 ! Nous laisserons les astrologues professionnels, faire ce travail. Le but de cet article sera principalement de s'intéresser aux numéros présent sur nos chères autos.

C'est en 74 que la numérotation des voitures est devenue annuelle. Depuis la f1 a connu deux méthodes d'attributions des numéros.

Jusqu'en 96 Le pilote champion (et donc son écurie) prenait le n°1, l'écurie qui perdait le n°1 prenait les numéros perdus par l'écurie accueillant le champion en titre.  Les autres teams gardaient (généralement) les mêmes numéros d'une année sur l'autre.

Depuis 96, le numéro 1 reste attribué selon le même principe. Derrière les numéros sont distribués selon le classement constructeur. Durant ces deux périodes consécutifs on a put voir de nettes tendances se dégager.

Des tendances indépendantes ou non d'écuries ou pilotes. Des tendances parfois remises en question par la réforme de 96. Petits tours d'horizon :

N°1 : Une domination Logique

Le cas le plus logique. Depuis 74, 10 fois la porteur du n°1 a était sacré. Quand on sait que ce numéro est donné au champion en titre, il n'y a pas de mystère. Outre la période schumacher du début des années 2000, cette statistique n'est que le reflet des nombreux doubles titres consécutifs vus depuis 74. Des résultats logiques, donc pour un numéro qui ne part a égalité de chances. C'est pourquoi nous éviterons de comparer directement les autres numéros au numéro 1

N°5 : Un numéros porte bonheur ?

Ce numéro a était 9 fois vainqueur depuis 74. 9 fois titrés ce numéro a était aperçu un peu partout. Chez mclaren, pour son premier sacre, Lotus, brabham, williams, benetton, renault, redbull. Ce numéro ne semble même pas avoir souffert de la réforme de 96. Il récolte en effet 3 titres (4 pour la paire 5/6) sur les 9 titres ne revenant pas au n°1.  Soit 2 de plus que la paire 3/4  attribué a une écurie ayant terminé plus haut le championnat précédents.

Il est a noté que sur ces 9 titres, 7 fois le numéro 5  est venu récompenser un premier sacre.

Les deux exceptions sont piquet en 83. Qui connu un second sacre grâce au numéro 5, alors qu'il portait déjà ce numéro lors de son premier sacre. Et si en 74, Le numéro 5 a permis a Fittipaldi de conquérir son second titre,  il s'agissait malgré tout d'un premier titres : le premier d'un numéro attribué a l'année. A noter que 3 fois champion le numéro 6 semble aussi aimer les premiers sacres. La seule exception revenant (une fois de plus) a piquet qui semble bien aimé cette paire.

Mclaren et le n°8 : 

A priori ça ne parait pas si évident que cela. Seulement 2 titres obtenus grâce au numéro 8 (84 et 98)  Sur l'ensemble des titres Mclaren, ca reste un ratio assez faible. Malgré tout on voit au delà que le n°8 semble avoir une grosse importance pour mclaren. Déjà on peut constater que jamais Mclaren n'a remporté de titre avec le n°7. Ce qui reste assez étonnant, vu que le premier numéro est généralement donné au pilote le plus susceptible de gagner.

Mclaren va même se retrouver dans les années 90 avec le numéro 8 contre toute logique. En perdant le titre en 92. Mclaren aurait en théorie du récupérer le numéro 5 de Williams. Mais profitant de la disparition de l'écurie Brabham, ils récupèrent ce numéros 8 laissant le 5 a Benetton.

Par ailleurs jamais le numéro 8 n'as gagné ailleurs que chez mclaren. Mais l'histoire de Mclaren et du n.8 va plus loin qu'simple numéro sur la voiture.

Mclaren a dominé les années 80. Remportant entre 84 et 89 5 titres pilotes. Avec qui plus est une saison fantastique en 88 remporté quasi l'intégralité des gp. Après 91 Mclaren connaîtra une période de creux, ne pouvant lutter pour le titre, jusque 98 année faste pour mclaren. Hakkinen sera titré cette année la, avec le n°8 sur sa voiture.

Mais toute histoire passionnelle connaît ses drames. Et le n°8 ne semble pas supporter d'être associé au nom de la voiture. En 93, la mp4/8 n'as jamais pu lutter face à la williams. Tandis que 10 ans plus tard la mp4/18 ne réussit même pas à courir en course et risque d'être longtemps considérer comme le flop historique de Mclaren

Prost et le n°2

A ce jour Alain reste le seul pilote a avoir mené le n°2 au titre. Et ce pas moins de 3 fois, ce qui sur 4 titres représente quand même un bon ratio.

N°1 officiel en 84 avec le N°7 sur sa voiture, Prost se fait souffler le titre de justesse par Niki Lauda, porteur du n°8 (Ce qui semble logique vu le chapitre précedent). L'année suivante, il va dominer l'Autrichien pour conquérir son premier titre avec le numéro 2 sur sa voiture.

Même schéma en 89. Après un titre remporté par A Senna numéro 2 de l'équipe. Alain prost va gagner cette année là son troisième titre. Toujours avec le numéro 2 sur la voiture. Lors de son retour en 93 Alain choisira délibérément le n°2 refusant de courir avec le n°0 qu'il laisse volontiers à D. Hill. Encore une fois, le titre sera au rendez-vous. En dehors de ces 3 sacres jamais Alain Pros n'aura eu l'occasion de porter le numéro 2 sur sa voiture. C'est donc un sans faute pour l'association Prost-n°2.

86 fera néanmoins exceptions à la règle. Champion 85, C'est en toute logique que Prost a était sacré avec le n°1. Mais après tout c'était bien son 2^ème titre.

Ferrari et le n°27 

Toute une histoire d'amour. Numéro mythique pour une écurie mythique. Présent sur les monoplaces de Maranello presque en continue de 81 a 95. Et pourtant ce numéro n'aura était sacré que deux fois. Mais jamais sur une Ferrari. Premier titres en 80 sur williams. Titre a l'origine, de l'arrivé du 27 chez Ferrari en 81, williams récupérant le numéro 1 de ferrari. Ferrai va alors rentrer dans sa plus longue période sans titres. Ils perdront ce numéro 27 en 90 lorsqu'ils signeront Alain Prost, champion en titres. Et la ce sera un nouveau titre pour ce numéro chez Mclaren. En 91 ferrari va donc retrouver le n°27 ainsi que des difficultés à jouer le titre. Ferrari gardera ce numéro jusque 95. Ils recommenceront à jouer le titres régulièrement dès 97.

En 96 le faible nombre d'ecurie combiné à la nouvelle distribution des numéros sonne le glas du n°27. En attendant une 13^ème écurie…

Finalement si ce numéro a longtemps était porté par la scudéria il représente aussi une des plus mauvaises périodes de cette écurie.

N°3 : Une malédiction ?

En 74 après le retrait de stewart, Lotus récupère la paire 1 – 2 (faisant de ronnie peterson le seul pilote roulant avec le numéro 1 sans avoir était sacré) et Tyrrel la paire 3 – 4. A partir de ce moment ce numéro qui resteras associé a tyrrell jusque 96 va sombrer dans le classements en même temps que l'écurie.

L'écurie Tyrrell a t'elle entraîné ce numéro dans sa chute ou est-elle victime de la malédiction du numéro 3 (comment ça j'en fait trop ?).

La réponse sera donné dès 96 car si y'as bien un numéro qui devrait voir son destin bouleversé par la réforme de 96 c'est le numéro 3. La saison 96 reste malgré tout difficile. Présent sur la Benetton championne 95, ce numéro ne s'imposera pas et l'écurie finira 4^ème. Néanmoins, dès 97 le n°3 entame sa marche victorieuse. De nouveau présent sur la voiture championne en titre (une williams cette fois), le n°3 et son possesseur seront enfin sacré ! Après quelques secondes places, l'exploit sera réitéré en 2000 grâce à Schumacher sur Ferrari. Par la suite le n°3 va se stabiliser derrière la scudéria. Alternant les secondes et les troisièmes places sur williams et mclaren. Finalement le numéro 3 est bien la et dès la fin de la domination Ferrari il devrait logiquement retrouver le chemin de la victoire.

Et pourtant en 2004, dernière année de domination Ferrari, le drame débute. Williams possesseur du numéro 3 va tomber dans le classement se faisant passé par Renault et BAR. Bar qui sera donc en 2005 nouveau possesseur du n°3 et terminera 6^ème du championnat. En 2006 c'est donc Mclaren qui héritera du numéro 3. Mais après une saison 2005 a lutter pour le titre, Mclaren ne gagnera pas la moindre course cette année la. Même souci pour Renault l'année suivante. Champion en titre, ils ont hérité du numéro 3 suite au départ d'Alonso. Résultats : saison catastrophique, sans victoire. A noter que Mclaren tout comme Renault, ont retrouvé le chemin de la victoire l'année suivante. Mclaren ira même jusqu'à rejouer le titres.

En 2008 BMW récupère le numéro 3 suite au déclassement de mclaren. Les résultats ne sont (Logiquement) pas brillants mais malgré tout correct pour l'écurie. Ce qui ne sera pas le cas en 2009. Ferrari s'effondre dans le classement, et l'accident de massa n'arrange pas les choses. En 2010 c'est une nouvelle fois le team champion en titre qui dispose du numéro 3 et une nouvelles fois, aucune victoire ne sera au rendez-vous. Petit regain de forme pour la paire 3-4 en 2011. L'écurie Mclaren finit seconde du championnat, meilleur des autres derrières Redbull. Malgré tout le n°3 s'est légèrement fait éclipser par le numéro 4.

La malédiction du numéro 3 existe-elle réellement ? Chacun se fera son opinion.